lundi 27 juillet 2015

Sexualité, Art et Politique

La Camarade et Sœur Yoo Mee Shin a écrit un article très intéressant sur la libre-sexualité vue par les régimes communistes.

Effectivement les Communistes Marxistes-Léninistes  voyaient dans la libre-sexualité une déviance bourgeoise et immorale, qui conduirait la Mère-Patrie Socialiste à une nation décadente.

La Communiste et Féministe russe Alexandra Kollontaï fut la première ministre Femme du gouvernement  de l’Union Soviétique. Elle s’est battue contre le machisme et le puritanisme à l’intérieur du Parti, ce qui lui a valu de graves critiques de la part de ses camarades masculins, voyant dans l’émancipation de la Femme et la libre-sexualité quelque chose moralement inacceptable, à bannir du parti. Selon eux le Parti Communiste devait afficher une rigueur morale, des envies utiles orientées  sur la productivité et le dépassement de soi-même, la rigidité sur le plan social, familial et de relationnel, afin de maintenir la concentration des énergies productives de toute la classe prolétarienne.

Le National-Socialisme quant à lui à beaucoup plus été souple au niveau de la  libre-sexualité, contrairement à ce que l’on peut lire et entendre, le NSDAP était très ouvert sur le plan sexuel, le Naturisme,les Arts, le cinéma, la peinture, la sculpture, danse, étaient débridé, il fallait montrer la beauté et la puissance de l’homme et de la femme de race aryenne : l’éro-esthétisme au service de la Race et du Parti. Même l’homosexualité n’était pas si pourchassée que ça par le régime nazi, les communistes quant à eux obligeaient les membres du parti à se trouver une épouse pour lever les doutes sur une éventuelle orientation sexuelle politiquement-Incorrecte :  Lavrenti Beria fut à l’époque soupçonner d’être un déviant sexuel et dut choisir une épouse ( une fille de 16 ans qui demanda la grâce de son frère condamné à mort par le PC Caucasien).

Le NSDAP ne tolérait pas l’homosexualité visible et stérile, mais certains membres du parti, surtout ceux de la première heur, entretenaient ou avaient entretenu des relations libertines et homosexuelles dans des soirées à thème animées par les amis de  Ernst Röhm (le chef des Sturmabteilungs).

Hitler fera l’éloges de l’homosexualité virile comme la contestation païenne face à la morale chrétienne et bourgeoise, en 1932, il ira jusqu’à dire que la Sturmabteilung  (la SA)  est une communauté d’hommes virils à but politique, une association de guerriers sauvages et non pas une institution morale pour jeunes filles de la haute société.

Le NSDAP n’a jamais réellement été un parti homophobe, l’exécution des SA pendant le Nuit des long couteaux n’était en aucun cas l’élimination des éléments homosexuels du parti nazi mais la prise de pouvoir d’Hitler sur l’aile gauche du NSDAP, qui voulait continuer la révolution nationale-socialiste et refuser l’entente avec la Bourgeoisie et les industriels Allemands.

Nous irons pas jusqu’à dire que les homosexuels pouvaient vivre leurs sexualité librement au sein du 3eme Reich, seul les «homos-nazis» restaient tolérés.

le célèbre Schutzstaffel (la SS)  archéologue et occultiste allemand Otto Rahn , surnommé  le Raspoutine de Himmler, était un homosexuel convaincu, il ira jusqu’à démissionner de la SS par refus d’épouser une femme afin de rendre son homosexualité plus saine au yeux des ces camarades.

En quelque sorte le NSDAP acceptait l’homosexualité non-stérile, une Femme pour la reproduction et les relations affectives avec un homme, les Nationaux-Socialistes avaient une vision antique de la race et de la nation, ils avaient pris exemple  sur la Grèce de Léonidas, de Sparte, de la Macédoine d’Alexandre le Grand, de la Rome de Jules César, tout en incorporant des éléments païens Germano-Scandinaves et l’esthétisme des Chevaliers Teutoniques. Le NSDAP vantait le culte de l’homme puissant, viril et au corps d’Apollon, forgé par le Sport. le SS (l’homme puissant ) vivait dans l’idée d’être un demi-dieu, ne pouvant vivre et côtoyer des gens de sa classe raciale et encourager à aimer, la beauté et la force virile et détester la faiblesse et ce qui pouvait l’incarner, une femme aryenne ne pouvait alors qu’être inférieure à l’homme dieu, car il était ce qui pouvait se rapprocher le plus du parfait et ne pouvait éprouver du respect et de l’affection qu’envers lui même ou ce qui était comparable à lui (un camarade de même sexe et classe raciale).

Nous pouvons dire que la sexualité de certains SS était non basée sur une homosexualité de besoin et de désires, mais plutôt une homosexualité d’amour pour soi-même, son propre corps ou de ce qui ressemble à son corps, c’est une attirance, un amour visuel plus que sexuel, c’était la passion pour ce qui de plus beau et parfait dans le monde.

Le leader d’extrême droite Michael Kûhnen  et membre de la FANE (Fédération d’action nationale et européenne) et grand admirateur de Ernest Röhm, affirmait dans les années 1988 que « le véritable National Socialisme est le National Socialisme Homosexuel »


Le National-Bolchevisme n’est en aucun cas une idéologie homosexuelle ou portée exclusivement sur la sexualité, loin de là ! En revanche Nazbolia pense qu’il est très important de revenir sur les principes de libertés sexuelles assumées sans pour autant sortir les grands chars et les drapeaux Arc-en-ciel et faire de notre sexualité un programme politique, ou une religion. La sexualité doit rester selon nous une manière personnelle de vivre et de penser et ne doit pas devenir quelque chose de tabou ou d’encourager par des lobbys. Cela doit rester un chemin personnel d’initiation.



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